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  • Je n'ai pas du tout apprécié dans l'article le terme "Frexit sécuritaire" de la part de LQDN. Le Frexit est porté depuis 14 ans par l'UPR et son président François Asselineau, interdit de grand média public par le CSA donc par l'élysée, comme chacun peut le constater (plus une seule interview sur les chaînes publiques depuis la fin du 1er tour en 2017). Le Frexit via l'article 50 n'est pas un programme en lui-même, mais juste la condition indispensable de départ pour récupérer d'abord le pouvoir législatif, et appliquer ensuite un vrai programme politique touchant tous les aspects de la vie des français, dont la mise en place d'un RIC impossible à imposer sinon. On avait déjà eu un transfuge du FN, venu jouer les parasites, et qui a osé déposer le nom Frexit à l'INPI, alors qu'il n'en est ni l'auteur, ni le principal utilisateur. Et soutenir, comme le fait LQDN, que le gouvernement ferait un "Frexit sécuritaire" n'a aucun sens en soi. La fédération UE a été rejetée par le référendum français de 2005, que Sarkozy est allé trahir avec le Traité de Lisbonne en 2008. De ce fait tous les gouvernement depuis lors sont illégitimes de fait, puisque ne respectant pas la décision souveraine du peuple. Ensuite c'est méconnaître les traités, qui prévoient des cas d'exception côté sécurité intérieure et lutte contre le terrorisme, arguments que nos gouvernants ont ici utilisés à leur fin. Ça n'a donc rien à voir avec une haute trahison de leurs principes de base, qui est de suivre les GOPÉ annuelles de Bruxelles à la lettre, en bons petit soldats parachutés par les banques et les copains milliardaires tous les 5 ans. Et tant pis si les commissaires fonctionnaires européens qui dictent ces lois ne sont élus par aucun peuple, et imposent leur vision bureaucratique destructrice dans tous les domaines depuis bientôt 30 ans, en s'accordant des privilèges honteux et indécents qui feraient passer Louis XIV pour un amateur. L'UE est donc bien une dictature qui ne dit pas son nom. Il faut ensuite bien comprendre que tous ces gens qu'on présente comme des opposants politiques en France, dont les mangeurs de soupe du parlement européen - et je pense particulièrement au RN et à la FI - sont des complices qui continueront dans tous les cas de figure à obéir à leur maître de Washington. Le seul fait qu'ils soient médiatisés, à l'inverse de l'UPR, le démontre clairement. Alors je n'ai rien contre LQDN, mais sur ce coup, je leur conseillerais bien aimablement de cesser de vouloir récupérer un terme qu'ils ne maîtrisent pas, et dont ils biaisent ici le sens de base. Merci à eux.

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